Un soir, Franz, intrigué, accepte un dernier verre dans le salon de Léopold. Il y règne une atmosphère douce, voluptueuse, poudrée de fantasmes, de rires et de tintements de verres. Franz est séduit. Le quotidien s’installe, la passion s’éloigne et sous les reproches incessants et les attaques incisives de Léopold, Franz perd pied. Pendant les longues absences de Léopold, Franz attend, sent un vent glacial traverser son cœur. Manipulé, fébrile, il s’accroche à son méprisant Léopold qui le fait plonger, glisser, ramper, sombrer dans le voluptueux tapis du salon. Plus le temps passe, moins Franz a de force pour se relever de ce profond lainage.